Jour 1 - 10H40. Bienvenue en enfer

Garçon N°6 Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 01/01/2007

Je courais, inlassablement dans la Techno Tower, voulant stopper la folie de la chaîne Crush TV, cette chaîne de télévision qui voulait faire tuer des gars et filles innocents rien que pour faire gagner un peu d'argent à sa compagnie mère... La Shnelles Corporation. Et moi ! J'ai été assez con pour rejoindre leur foutu régiment spéciale... la Battle Security... Tsss... Me voici à présent près de la salle de transmission, la porte est juste devant moi mais je sais que Loyal me poursuit activement, il veut ma perte... Il a compris par mon comportement que je ferais tout pour dévoiler au grand jour cette monstruosité des médias. Même si je dois perdre la vie, je sauverais coût que coût ces participants innocents... Me voici dans la pièce permettant d'entrer en contact avec le continent, l'émetteur est droit devant moi, je le prends, je commence le message...

"Ici Cortez, ancien officier de la marine du G.U.N, écoutez-moi..."

Mais avant que je puisse continuer, des soldats de la Battle Security, mes anciens collègues avec qui j'avais tant partagé de bon moment, ainsi que M Loyal entrèrent dans la pièce... Je pris une vieille épée que j'avais achetée dans un magasin d'arme, pointant les soldats.

"VOUS, ici ! Ne tentez pas de vouloir me combattre, j'enverrais coût que coût ce message!"

Je regardais les soldats d'un oeil mauvais, attendant une réaction.

La réaction fut assez simple. L'épée que Cortez tenait en main s'envola et transperca la fenêtre pour quitter la pièce. Loyal avait tiré une cartouche depuis son arrivée dans la pièce et ce sans sommations ni le moindre geste assez lent que pour être vu. A présent, Loyal pointait Cortez avec son Beretta et les soldats autour venaient de dégainer leurs armes. M.Loyal dit à Cortez:

[M.Loyal] On va pas s'attarder sur ce genre de conneries... Le message n'arrivera pas, j'ai bloqué les communications dès que j'ai compris ton petit manège. Cortez, ne pense pas que le jeu est fini... Au contraire, il vient à peine de commencer.

A peine les mots prononcés, un des garde sortit un collier d'une de ses poches et commenca à marcher vers Cortez pour le lui placer.