Horgélus courait le plus vite possible, passant à tout trombe à travers les buissons et autres végétaux du même style, fallait dire que sur ce bout de terre il y avait de tout et de rien, tout en matière végétal et rien en matière de matériel de repérage, communication et autre. Il avait repéré sur la carte un centre de soin abandonné qui pourrait encore lui fournir du matériel médical, très utile en cas de blessure grave, qui se trouvait non loin de sa position, aussi avait il accélérait pour atteindre l’endroit le premier (vu qu’il n’y avait pas de traces ici). Quel stupide jeu, tout ça pour du pognon (>o<) ! Bref, il fallait pas penser pour le moment, mais surtout agir et d’ailleurs Horgélus était arrivé prés de la bâtisse de secours abandonnée. En toute hâte il sauta, pratiquement, dans la porte principale restait entrebâillée, puis il monta au premier étage et emprunta le seul couloir qui se trouvait prés de lui. Tout en marchant il observait les pièces vides : certaines avaient un lit, d’autres rien du tout, mais pour le moment, le plus urgent, était les bandages, pommades et autres. Finalement il tomba sur la pharmacie de garde et prit tout ce qu’il pouvait prendre dans les placards, pour ensuite ressortir, en ayant prit le soin de retirer l’arbalète du sac et de l’armer. Horgélus n’était pas dupe, il y avait bien quelqu’un ici, il fallait le prendre de vitesse, ou même …. Lui tendre un piége ! Il prit la première pièce où se trouvait un lit, il se coucha dessus et ferma les yeux, faisait mine de dormir, arbalète sous les draps poussiéreux. L’inconnu mordit à l’hameçon, il se pencha pour scruter Horgélus, mais ce dernier sortit en un éclair son arbalète et le plaça sous le cou du personnage.
« Tss… tsss… Que faites vous là ? »
Il ouvrit les yeux, et tout ébaubit il dit :
« Mais…. C’est vous ! »